Écoute sur l'IVG

Nous vous proposons une écoute strictement gratuite et anonyme pour vous apporter un soutien dans le cadre d'un projet d'IVG y compris auprès des mineurs.

Accompagnement

Nous vous aidons et vous orientons dans votre région en toute indépendance par rapport aux structures administratives ou étatiques.

Informations complètes

Toutes les informations utiles : médicales, psychologiques, juridiques ou sociales, et un forum avec de nombreux témoignages de femmes ayant vécu plus ou moins bien l'IVG

Conseils spécialisés

Conseils sur l'IVG et la grossesse de la part de médecins, psychologues, juristes ou assistantes sociales affiliés à notre réseau. Orientation possible vers un spécialiste.

Qu'est-ce que l'IVG ?

L’Interruption Volontaire de Grossesse est un acte médical encadré, qui comporte des risques médicaux et psychologiques.

IVG en France

L’ IVG en France est réglementée depuis 1975 par la loi Veil qui stipule dans son art. 1er que « la loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie »

⟶ En savoir +

Elles témoignent à propos de leur IVG

Nos derniers articles sur l'IVG

L’Interruption Volontaire de Grossesse est un acte médical encadré, qui comporte des risques médicaux et psychologiques.

Sur les réseaux sociaux

je m’appelle Morgane j’ai bientôt 21 ans, j’ai appris il y a 8 mois que j’étais enceinte et que j’allais enfin pourvoir avoir le bonheur qu’il m’a toujours manquée ! Mais malheureusement, j’ai appris que j’avais des cellules précancéreuses. Du coup ma gygy me propose l’avortement pour pouvoir m’opérer de ces cellules disait-elle .. Comme une vague d’insouciance m’envahi, j’accepte sans savoir ce qu’il m’attendait. Je le fait par médicament ! j’ai cru mourir les filles !Aujourd’hui, je suis dans un mal-être profond, une sensation de culpabilité m’envahie tous les matins au réveil, j’ai l’impression d’être une meurtrière. Normalement j’aurais du accoucher dans 8 jours ! j’en suis malade, je pleure tous les jours ! Je suis mal dans ma peau. c’est horrible ! Depuis j’ai fait 1 fausse couche;je viens d’avoir une personne de chez vous au téléphone pour parler et j’écris aussi pour témoigner ! Merci de votre compréhension et de votre travail ! ... Voir plusVoir moins
Voir sur Facebook
HELOISE 28 ans, J'ai 4 enfants et notre dernière a 7 mois ! A la suite de cette grossesse , j'ai fait poser un stérilet cuivre , et pourtant aujourd'hui je suis enceinte. Et je suis perdue ! Je pense a l'IVG ... mais moralement , je ne sais pas si j'y arriverais. Et avec un 5e bébé j'ai peur du jugement. Des avis svp. ... Voir plusVoir moins
Voir sur Facebook
SOPHIE Il y a 9 mois que j’ai subi une ivg et je n’arrive pas à m’en remettre.. j’ai du prendre cette terrible décision pour que mon bébé ne soit pas malheureux.. Comme son père faisait des allées-retours en prison ... et n’était pas forcément sérieux avec moi , c’était compliqué d’autant plus que même si je travaillais, je vivais encore chez mon père.. Comme j’étais à 1 mois et demi nous avons dû prendre cette décision rapidement malgré mon refus devant le médecin de prendre le comprimé la première fois!! je l’ai fait lors d’un autre rdv et depuis j’ai du mal à avancer.. J’aimais mon bébé, je voulais aussi le garder mais il y’a avait trop de contre.. d’autant plus que ma soeur est tombée enceinte en meme temps que moi. C’est très dur de voir son fils à elle grandir et pas mon enfant qui n'est plus là !.. ... Voir plusVoir moins
Voir sur Facebook
Lily; Surprise il y a 2 ans ...bébé s'installe ! Je venais tout juste de me mettre en couple avec mon conjoint . Lui était clair sur sa décision et ne changeait pas de point de vue : il n’en voulait pas, c’était trop tôt et il n’était pas prêt. Moi j’avais 20ans, et à 20ans quand on est une jeune femme amoureuse on est perdue…Il me promettait une histoire d’amour pleine de joie et me disait qu’on aurait le temps de construire une famille plus tard. etc...Bref, cette lourde situation était insupportable, j’ai alors appelé le centre d’IVG et j’ai prit un rdv. Ma famille le savait et me disait que si j’avortais je tomberai en dépression plus tard et que je regretterai etc.Je ne voulais écouter personne mais tout le monde voulait prendre la décision à ma place. J’ai avorté. J’ai opté pour la méthode médicamenteuse et j’ai vécu une descente aux enfers. C’était la période COVID, j’étais seule dans cette chambre d’hôpital et je devais aller sur les toilettes toutes les 10min pour appuyer sur le bas de mon ventre afin d’évacuer l’embryon. Je pensais que cette méthode était normale. Nous avons déménagé en Bretagne, j’étais toujours amoureuse et la région est magnifique. Quelques mois après mon avortement, j’ai sombré. J’étais assez dépendante et colérique, je ne savais pas comment faire mon deuil. J’ai donné un prénom à mon bébé, je lui ai écris des lettres, j’y pensais tous les jours… J’ai vécu ce combat seule, mon copain n’a jamais voulu en discuter.J’ai fini par me faire hospitaliser, seule solution du moment…2023 arrive et j’ai un nouveau projet : reprendre mes études. Je suis en licence de psychologie, je pense toujours à mon bébé, nous parlons beaucoup d’enfant et de bébé en cours, c’est difficile. Je rentre parfois des cours en m’effondrant dans mon lit.Je fais des tests de grossesse tous les mois, c’est psychologique, je n’ai jamais cessé de le faire. Je veux un enfant et en même temps, j’en n’en veux pas. Au mois de janvier mon test est positif. Mon copain est en formation à 200 kms. Je n’y crois pas. Je refais un test, puis deux, et trois. Ils sont tous positifs. Ce n’est pas possible… Je veux le garder, cette fois, je ne laisse le choix à personne.Je l’annonce alors à mon copain qui à nouveau, me dit qu’il "n’est pas prêt…" Ça fait maintenant deux ans et demi que nous vivons ensemble, je vois un psy depuis 1 an pour essayer d’avancer de mon IVG, je ne veux pas recommencer.Alors les semaines passent et je garde mon point de vue, je n’avorterai pas une seconde fois. Nous voyons plusieurs médecins afin d’essayer de discuter, tous les gynécologues que j’ai vu m’ont dit que ce n’était pas normal de s’appuyer sur le ventre lors d’une IVG médicamenteuse…Ça me plombe le moral et me donne encore moins envie de recommencer.Mon conjoint était prêt à m’abandonner, à me quitter, à ne pas reconnaître son deuxième bébé. J’étais très stressée. J’ai gardé cette merveille pendant 3 mois bien au chaud, et la vie a décidé de me le retirer.. J’ai fait une fausse couche au mois de mars… J’essaie d’avancer comme je peux, je garde la tête haute. J’ai hâte d’être une maman comblée et qui comblera son/ses enfant.s. Depuis ma seconde grossesse, j’ai enfin réussi à faire le deuil de mon premier bébé. ... Voir plusVoir moins
Voir sur Facebook
ALICIA 22 ans. Il y a 1 an , j’ai repris contact avec un de mes ex avec qui j’avais vecu 4 ans. Nous etions très proches, on se voyait quand on pouvait !. Nous avions l’intention de nous mettre en couple plus tard !Sauf qu’un jour, après 3-4 mois, j’apprends qu’il était déjà en couple … durant ces 4 ans de vie ensemble !! Donc il trompait sa copine pendant tout ce temps avec moi ! J’ai donc décidé de rompre notre relation ! Mais ...en avril 2022, je commençais à avoir des symptômes de femme enceinte. Je décide de faire un test de grossesse et c’était positif … À ce moment là, je me suis sentis très mal. J'étais enceinte d’un homme qui n’a respecté personne. J'ai été très blessée par cette attitude !Je lui en voulais beaucoup , mais je ne pouvais pas lui cacher que j’étais enceinte de lui … Au début il ne m’a pas cru, il me disait que j’étais folle et que je voulais juste le faire rester avec moi. Jusqu’à ce que je lui prouve que j’étais vraiment enceinte avec des tests de grossesse que j’ai fait en direct. Suite à ça, j’ai pris RDV chez un gynécologue sans en parler avec ma famille avec qui il y avait des tensions. Il me confirme cette grossesse , de 1 mois 1/2 , j’ai pu entendre le cœur de mon bébé ce qui m’a littéralement bouleversée…Je ne savais plus quoi faire … J’aime bcp les enfants, et je me disais que si je tombais enceinte, jamais je n’avorterais qq soit ma situation ! j’étais en froid avec mes parents, , j’avais des dettes partout et surtout le pire, je ne suis plus avec le papa et je ne savais pas si je pouvais lui apporter tout ce dont il aurait besoin !Après mures reflexions et après avoir bcp pleuré, je m'etais déjà attachée à ce petit être qui grandissait en moi ! Et pourtant je n’ai pas eu d’autre choix que d’avorter … J’ai donc , a reculons, fait une IVG médicamenteuse . On m’avait dit que ce serait douloureux, je m’attendais à être mal , mais pas à ce point là. Contractions, vomissements, énormément de saignements. Après 1 heure de souffrances terribles, et seule , les douleurs se sont calmées, mais les saignements continuaient, abondants . Le lendemain , je ne me sentais pas bien, je faisais des malaises, je n'ai pas pu reprendre mon travail a la crèche ! 2 jours après que j’ai fait cette IVG, je me sens de plus en plus mal et je saigne toujours autant, j’étais toute pâle, je ne mangeais rien et je voyais souvent noir quand je me levais. Malgré tout cela je suis allée au travail . Je n’ai pas pu travailler, j’ai dû appeler un taxi pour rentrer chez moi. Seule à nouveau ...j'étais vraiment très mal ...je me sentais partir !Seules personnes prévenues le papa et une amie , mais mes parents se doutaient que q q chose n'allait pas bien ! dès que je voulais me lever je perdais connaissance !Ma mere me fait transporter a l'hopital , j'etais tel un "zombie", je ne tenais plus debout et dès que j'ai prononce IVG , le personnel soignant me prend en charge en urgence , echographie ... le gyneco m'annonce que l’embryon était encore là ! et que je faisais une hémorragie. J’ai été emmenée direct au bloc opératoire pour faire l’aspiration. Je suis restée 3 jours complets à l’hôpital . Quand les infirmières venaient me voir, elles me disaient toutes « vous revenez de loin mademoiselle » J'ai pensé que j'étais punie d’avoir tué mon enfant … Mon enfant qui voulait vivre au point d’être resté en moi malgré la prise des comprimés pour faire l’IVG … Après tout ça, j’ai du aller faire plusieurs séances chez une psychologue sous obligation. J’ai du être en arrêt de travail 1 mois puisque mon état mental ne s’améliorait pas et que je n’étais pas prête à reprendre le boulot surtout avec des enfants.Encore aujourd’hui, cette période de ma vie, m’affecte beaucoup … Je pleure souvent ! J’essaye quand même d’aller de l’avant bien que mon premier enfant restera toujours dans ma tête et dans mon coeur . ... Voir plusVoir moins
Voir sur Facebook
J ai 36 ans, mariée, 2 filles de 10 et 11 ans. Cela va faire 2 ans et demi que j ai subi un ivg à 10 semaine de grossesse, j’étais décidée à le faire, mais cela a été très dur de le pratiquer car ma gyneco ne voulait rien faire, elle m’a envoyée dans des plannings familiaux qui me trainaient en longueur puis j ai enfin trouvé un hôpital. Ce fut très douloureux 8 heures de contractions avant la « libération » qui n’en n’a pas été une car j ai tout vu dans le WC. Une image laide qui me suit sans arrêt, J’ai des cauchemars, je m’en veut. Et pourtant au fond de moi, il y eu un soulagement passager. Je vis dans le regret, le regret aussi, je pense, que je lui ai fait du mal à cet embryon. C'est très pénible chaque jour. J’ai déjà pensé à me suicider tellement je culpabilise. Ma vie n’est plus pareille depuis cet acte pourtant bien réfléchi car c’était mon choix. Le mois d’après la gyneco de cette ivg m’a ligaturée à ma demande et je suis contente de l’avoir fait. J'ai gardé cette gyneco car elle est convenable. Ici ca faisait 2 ans et demi que je n’avais plus été passer de visite, j'ai pris sur moi, dur de revoir ces couloirs où l'ivg a eu lieu. La visite n’a donné rien de positif car dans 15 jours on doit m'opérer et enlever l'endomètre car cela pourrait tourner en cancer! Est ce ma punition ??? !!!! Je suis très fatiguée de cette partie la de ma vie. J ai déjà parlé à une connaissance psy.mais bon c’est à moi d'assumer et de prendre sur moi mes regrets. Merci de m’avoir lue ... Voir plusVoir moins
Voir sur Facebook