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Qu'est-ce que l'IVG ?

L’Interruption Volontaire de Grossesse est un acte médical encadré, qui comporte des risques médicaux et psychologiques.

IVG en France

L’ IVG en France est réglementée depuis 1975 par la loi Veil qui stipule dans son art. 1er que « la loi garantit le respect de tout être humain dès le commencement de la vie »

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L’Interruption Volontaire de Grossesse est un acte médical encadré, qui comporte des risques médicaux et psychologiques.

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je m’appelle Morgane j’ai bientôt 21 ans, j’ai appris il y a 8 mois que j’étais enceinte et que j’allais enfin pourvoir avoir le bonheur qu’il m’a toujours manquée ! Mais malheureusement, j’ai appris que j’avais des cellules précancéreuses. Du coup ma gygy me propose l’avortement pour pouvoir m’opérer de ces cellules disait-elle .. Comme une vague d’insouciance m’envahi, j’accepte sans savoir ce qu’il m’attendait. Je le fait par médicament ! j’ai cru mourir les filles !Aujourd’hui, je suis dans un mal-être profond, une sensation de culpabilité m’envahie tous les matins au réveil, j’ai l’impression d’être une meurtrière. Normalement j’aurais du accoucher dans 8 jours ! j’en suis malade, je pleure tous les jours ! Je suis mal dans ma peau. c’est horrible ! Depuis j’ai fait 1 fausse couche;je viens d’avoir une personne de chez vous au téléphone pour parler et j’écris aussi pour témoigner ! Merci de votre compréhension et de votre travail ! ... Voir plusVoir moins
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HELOISE 28 ans, J'ai 4 enfants et notre dernière a 7 mois ! A la suite de cette grossesse , j'ai fait poser un stérilet cuivre , et pourtant aujourd'hui je suis enceinte. Et je suis perdue ! Je pense a l'IVG ... mais moralement , je ne sais pas si j'y arriverais. Et avec un 5e bébé j'ai peur du jugement. Des avis svp. ... Voir plusVoir moins
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SOPHIE Il y a 9 mois que j’ai subi une ivg et je n’arrive pas à m’en remettre.. j’ai du prendre cette terrible décision pour que mon bébé ne soit pas malheureux.. Comme son père faisait des allées-retours en prison ... et n’était pas forcément sérieux avec moi , c’était compliqué d’autant plus que même si je travaillais, je vivais encore chez mon père.. Comme j’étais à 1 mois et demi nous avons dû prendre cette décision rapidement malgré mon refus devant le médecin de prendre le comprimé la première fois!! je l’ai fait lors d’un autre rdv et depuis j’ai du mal à avancer.. J’aimais mon bébé, je voulais aussi le garder mais il y’a avait trop de contre.. d’autant plus que ma soeur est tombée enceinte en meme temps que moi. C’est très dur de voir son fils à elle grandir et pas mon enfant qui n'est plus là !.. ... Voir plusVoir moins
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Lily; Surprise il y a 2 ans ...bébé s'installe ! Je venais tout juste de me mettre en couple avec mon conjoint . Lui était clair sur sa décision et ne changeait pas de point de vue : il n’en voulait pas, c’était trop tôt et il n’était pas prêt. Moi j’avais 20ans, et à 20ans quand on est une jeune femme amoureuse on est perdue…Il me promettait une histoire d’amour pleine de joie et me disait qu’on aurait le temps de construire une famille plus tard. etc...Bref, cette lourde situation était insupportable, j’ai alors appelé le centre d’IVG et j’ai prit un rdv. Ma famille le savait et me disait que si j’avortais je tomberai en dépression plus tard et que je regretterai etc.Je ne voulais écouter personne mais tout le monde voulait prendre la décision à ma place. J’ai avorté. J’ai opté pour la méthode médicamenteuse et j’ai vécu une descente aux enfers. C’était la période COVID, j’étais seule dans cette chambre d’hôpital et je devais aller sur les toilettes toutes les 10min pour appuyer sur le bas de mon ventre afin d’évacuer l’embryon. Je pensais que cette méthode était normale. Nous avons déménagé en Bretagne, j’étais toujours amoureuse et la région est magnifique. Quelques mois après mon avortement, j’ai sombré. J’étais assez dépendante et colérique, je ne savais pas comment faire mon deuil. J’ai donné un prénom à mon bébé, je lui ai écris des lettres, j’y pensais tous les jours… J’ai vécu ce combat seule, mon copain n’a jamais voulu en discuter.J’ai fini par me faire hospitaliser, seule solution du moment…2023 arrive et j’ai un nouveau projet : reprendre mes études. Je suis en licence de psychologie, je pense toujours à mon bébé, nous parlons beaucoup d’enfant et de bébé en cours, c’est difficile. Je rentre parfois des cours en m’effondrant dans mon lit.Je fais des tests de grossesse tous les mois, c’est psychologique, je n’ai jamais cessé de le faire. Je veux un enfant et en même temps, j’en n’en veux pas. Au mois de janvier mon test est positif. Mon copain est en formation à 200 kms. Je n’y crois pas. Je refais un test, puis deux, et trois. Ils sont tous positifs. Ce n’est pas possible… Je veux le garder, cette fois, je ne laisse le choix à personne.Je l’annonce alors à mon copain qui à nouveau, me dit qu’il "n’est pas prêt…" Ça fait maintenant deux ans et demi que nous vivons ensemble, je vois un psy depuis 1 an pour essayer d’avancer de mon IVG, je ne veux pas recommencer.Alors les semaines passent et je garde mon point de vue, je n’avorterai pas une seconde fois. Nous voyons plusieurs médecins afin d’essayer de discuter, tous les gynécologues que j’ai vu m’ont dit que ce n’était pas normal de s’appuyer sur le ventre lors d’une IVG médicamenteuse…Ça me plombe le moral et me donne encore moins envie de recommencer.Mon conjoint était prêt à m’abandonner, à me quitter, à ne pas reconnaître son deuxième bébé. J’étais très stressée. J’ai gardé cette merveille pendant 3 mois bien au chaud, et la vie a décidé de me le retirer.. J’ai fait une fausse couche au mois de mars… J’essaie d’avancer comme je peux, je garde la tête haute. J’ai hâte d’être une maman comblée et qui comblera son/ses enfant.s. Depuis ma seconde grossesse, j’ai enfin réussi à faire le deuil de mon premier bébé. ... Voir plusVoir moins
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