Lisa, 21 ans parle des pressions qu’elle a du subir de la part de son entourage pour une IVG . Ce fut pour le papa que la grossesse fut ldificile à accepter . Il a du prendre conscience de son état ..
IVG
Lisa, 21 ans. Avec le papa nous nous sommes rencontrés en septembre dernier. Le coup de foudre. C’était notre dernière année d’étude car nous passons notre examen en ce moment.
Après 5 mois de relation, les symptômes arrivent, le matin au réveil, je fais le test avec le papa et c’est positif ! Nous sommes tellement heureux ! Mais le cauchemar est vite arrivé. Ma famille le prend assez bien car, personnellement j’avais ma situation, permis, appartement, travail. Je gérais fièrement mes finances. Tandis que sa famille (il vit chez papa maman, et passe actuellement le permis…) le prend très mal. Il y a un gros clash familial. Sa mère qui est soit disant « contre l’avortement » me dit que je n’ai pas le choix pour IVG, que la « relation avec son fils ne durera pas de toute façon ». Ce fut très dur. Le papa, déstabilisé a souvent changé d’avis et poussé pour une IVG . Aussi, il a été blessant, méchant …
J’ai longtemps pensé à faire une IVG sous la pression, la solitude, la tristesse…
Mais non ! Le temps passe, nous leur apportons les photos de la première échographie, la colère redescend, les choses s’apaisent …
Je suis actuellement dans mon 5ème mois. Les choses se passent mieux. Je vais quand même passer mes examens et accueillir mon bébé d’amour (que j’aime déjà tant) dans quelque mois. Niveau santé, je dois rester un maximum alitée. Je suis en arrêt de travail car j’ai déjà des contractions … Le papa prend un peu plus conscience de mon état ..
Merci de m’avoir lu, merci aussi à la page facebook qui m’a beaucoup aidée aussi ! Et surtout, quelque soit votre entourage, ne craquez pas !
C’est votre corps et le choix de la vie vous est totalement réservé !
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