Pression pour l’IVG . Cela fait 2 ans et 2 mois que j’ai pratiqué une IVG. Un jour, j’ai du arrêter la pilule pendant une semaine
Pressions pour l’IVG par aspiration.
Cela fait 2 ans et 2 mois que j’ai pratiqué une IVG. Un jour, j’ai du arrêter la pilule pendant une semaine et avec mon fiancé on l’a fait une seule fois cette même semaine. Un mois pile après j‘ai eu des nausées atroces et quand j’ai fais un test, j’étais enceinte. Et à ce moment là, le cauchemar a commencé. Rendez-vous à l’hôpital. Mais avec mon fiancé, on n’était pas décidés et pour moi, le délai pour avorter était dans longtemps. Au fond de moi, je ne voulais pas que ce jour arrive. J’étais extrêmement malade car je fais partie des femmes qui ont les nausées excessives. J’ai pris 5 kg en 2 mois alors que je n’avais jamais rien dans l’estomac. Puis j’ai aimé cet enfant plus que n’importe qui sur la terre. Et plus la date « approchait », plus le planning m’harcelait pour que j’avorte. Une semaine avant le délai, je l’ai dit à mes parents et à ma belle famille. Verdict : ma belle famille est contre le bébé, elle voulait absolument que, moi, je pratique l’ivg. J’ai fait une échographie et je l’ai vu, 2 mois et 3 semaines, j’ai entendu son cœur. J’ai su que je l’aimerai toute ma vie, mais ma belle famille et le planning familial m’ont mis une pression atroce surtout le planning comme ci c’était une OBLIGATION.
J’ai cédé malgré le fait que je ne voulais pas… J’ai subis une opération par aspiration et au réveil quand ils m’ont fait une échographie, il n’était plus là … Le soir, j’ai vu un gros caillot de sang qui est tombé et je pense y avoir vu comme une petite main dans l’amas de sang et de matières… Cette année, cela va faire plus de 2 ans et je ne m’en remets toujours pas.
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