J’ai 21 ans et j’ai vécu l'ivg médicamenteuse à 17 ans en 2009. je pensais n'avoir pas le choix car j’étais jeune et je n'avais pas de situation stable. Avant et pendant l'ivg, je ne me rendais pas compte que cela pouvais avoir des conséquences sur mon moral et ma santé psychologique. Je ressentais un soulagement , avec aussi un peu de tristesse et de la honte. Mais les jours, les semaines et les mois ont passé sans que j’oublie ce petit bébé qui faisait partie de moi. Je ne pensais qu'a cela, mais je n’arrivais pas à en parler car c’était trop dur. Alors, je pleurais quand j’étais seule. 3 ans après, quand je ne m'y attendais pas, toute cette douleur enfouie en moi m’a provoqué des crises d’angoisses aigues et je suis tombée en dépression nerveuse. Aujourd’hui, je le vis autrement. J’y pense toujours mais j’avance dans ma vie. Mais malgré tout, je suis toujours sous médicaments. Tout cela fait parti de ma vie maintenant et je m'y fais.
Anonyme 21 ans
J’ai 21 ans et j’ai vécu l'ivg médicamenteuse à 17 ans en 2009. je pensais n'avoir pas le choix car j’étais jeune et je n'avais pas de situation stable. Avant et pendant l'ivg, je ne me rendais pas compte que cela pouvais avoir des conséquences sur mon moral et ma santé psychologique. Je ressentais un soulagement , avec aussi un peu de tristesse et de la honte. Mais les jours, les semaines et les mois ont passé sans que j’oublie ce petit bébé qui faisait partie de moi. Je ne pensais qu'a cela, mais je n’arrivais pas à en parler car c’était trop dur. Alors, je pleurais quand j’étais seule. 3 ans après, quand je ne m'y attendais pas, toute cette douleur enfouie en moi m’a provoqué des crises d’angoisses aigues et je suis tombée en dépression nerveuse. Aujourd’hui, je le vis autrement. J’y pense toujours mais j’avance dans ma vie. Mais malgré tout, je suis toujours sous médicaments. Tout cela fait parti de ma vie maintenant et je m'y fais.
Anonyme 21 ans